En mars 2011, au moment de la catastrophe de Fukushima, tandis que la CRIIRAD dénonçait la gravité de la situation au Japon, l’IRSN validait, par des modélisations, les mesures de protection pourtant très insuffisantes mises en oeuvre par les autorités nippones. Cette affaire pose question sur la manière dont l’Institut agirait en cas d’accident grave dans l’Hexagone.